Dès 7,20 €
+BRESAOLA PUNTA D’ANCA
La punta d'anca est la coupe la plus noble et la plus maigre de la cuisse de boeuf. Chez nous on l'appelle la noix de boeuf. Salée artisanalement puis séchée, affinée. Je l'aime tranchée finement arrosée d'un trait d'huile d'olive et d'un jus de citron. Comme un carpaccio. Parfois je l'oublie. Et quand je la remets en bouche, je me demande comment ce peut-être aussi bon !
6,50 €
+PÂTE SABLÉE
Pâte sablée François 400g
Dès 9,50 €
+MEZZA LUNA
Nous sommes ici chez les Orlandi, éleveurs de cochons Grigio del Casentino – une race autochtone qu’ils sauvegardent depuis 10 ans. Mais les Orlandi n’élèvent pas seulement les cochons. Ils en transforment et affinent aussi la viande. Voici donc la mezza luna. Ce n’est pas la cuisse, ce n’est pas le prosciutto. C’est l’épaule. Je crois que l’épaule de cochon, d’une manière générale est le produit qui me fascine le plus. L’équilibre entre le gras est la chair est exceptionnel. Plus de gras, plus de saveur, plus de de complexité, plus de plaisir. Cette mezza luna a un nez de noix, une force en bouche, un caractère toscan. Elle est prête à être dégustée quand elle a 120 jours d’affinage. Alors on la tranche finement et on la mange à température. Avec rien ou presque rien. Un bon pain et un bon vin. La Mezza Luna n’a besoin de personne. Elle est majestueuse.
4,50 €
+CHÈVRE DU ROVE
Chaque année on attend avec impatience que la famille Falcot envoie le top départ. Cette fois c’était le 12 mars. Premières brousses et premiers fromages de chèvre. Ce goût-là est celui de l’annonce du printemps par excellence. Le lait de la chèvre du Rove est d’une délicatesse sans pareille. C’est de l’or ! « Il faut en effet avoir la chance de goûter le lait cru encore tiède, pendant la traite : un élixir onctueux, presque miellé, dont la douceur et la rondeur transmettent les parfums d’une heureuse vie de plein air. À contre-pied de l’imaginaire habituel de la cuisine française, la Méditerranée n’est pas un terroir d’opulence, mais c’est précisément dans ce dépouillement que le lait des Roves puise sa richesse. » (Mayalen Zubillaga, Brousse du Rove, l’appel des collines, aux Editions de l’Epure).