CREMA DI NOCCIOLA
Du Gianduja à l'état pur. Préparé avec les noisettes du Piémont IGP issues des noisetiers de l'Azienda.
Bocal de 250g
60 € / kg
15,00 €
Avec ça ?

THÉ À LA FLEUR D’ORANGER
Un jour, j'ai vu Pierre Lebrun dans les yeux, dans son magasin tout beau du 11e arrondissement à Paris. Il passait du très bon hip hop, je m'en régalais, et il me racontait sa rencontre avec le thé, ses découvertes et tous ces savoir-faire infinis. Je lui ai demandé de nous écrire trois belles recettes de thé. Une aux agrumes. Une à la fleur d'oranger. Une aux épices, plus hivernale. Un autre jour je lui ai demandé une tisane qui donne envie de sauter du lit. La Curcuma Gingembre était née. Merci Pierre ! Voici donc ici un Oolong légèrement torréfié aux saveurs chaleureuses, eau de fleur d’oranger italienne et morceaux de citrons noirs iraniens. Addictive.

CAFÉ TRINCI SUPER CREMA
Je passe la frontière et illico je m’arrête pour un caffè al banco. Tout le monde fait ça, non ? Le goût de l’Italie c’est avant tout le café au comptoir , mais quel café ! À l’Idéal on est fiers de servir celui d’Andrea Trinci qui torréfie non loin de Pisa. Un art qu’il […]

CONFITURE D’ORANGE AMÈRE
Cette recette-là c'est celle de la grand-mère de Frédéric Soffiotti ! La sua Donnina! Et c'est un travail de bijoutier. "On fait quelques trous dans l’orange avec une aiguille à tricoter (pas un couteau, ça oxyde) et on fait tremper les fruits dans de l’eau que l’on va changer pendant trois jours. Une partie de l’amertume va partir. Et puis, et c’est là le plus long, on va prendre chaque orange en main, la couper en deux, en extraire les pépins de la pointe du couteau, puis détailler en fines tranches chaque moitié du fruit. On blanchit le tout et on couvre de sucre, pour la nuit, c’est ainsi que la pectine naturelle du fruit s’exprime, puis on fait cuire. C’est un travail long et répétitif, de trancher tous les fruits au couteau, mais le résultat, la texture en bouche, le goût, le confit de la peau..."

LA MARINA
Et puisque j’étais à Piacenza, je rencontrais Marcello. Un jeune fou qui a commencé par faire du chocolat ‘bean to bar’ dans son garage, en inventant des machines pour optimiser les procédés de fabrication. Avec son ami Alberto, ils ont eu l’idée de conserver les noisettes de Piacenza en saumure puis de les torréfier pour les mélanger au chocolat. Magique. Résultat : la Marina n’a rien à voir avec une pâte à tartiner et pourtant elle en tient le beau rôle. C’est exactement celle que l’on pourrait étaler sur du bon pain rôti en rajoutant un filet d’huile d’olive comme en Catalogne. Elle est plus liquide. Plus intense aussi. On peut en napper des bombolonni (beignets italiens). Et oui, on peut s’en faire une petite cuillère avec le café, ça ne fait jamais de mal !