CONFITURE D’ORANGE AMÈRE

Un vrai travail de bijoutier : faire tremper les fruits percés par endroit pendant trois jours, couper les fruits deux, extraire les pépins puis les couper en tranches, les blanchir, les couvrir de sucre et attendre une nuit avant de les cuire. Quelle patience... et quel goût !  

8,90 

Orange amère de Pays (55%), sucre de canne bio, citron. Conserver au frais après ouverture.
Valeur Nutritionnelle pour 100g : 919KJ/220Kcal
Mat Grasse : 0g ; Glucides : 55g dont sucre 55g. Fibres : 2,1g ; Protéine : 0g ; Sel : 0g.

Description

Dans ma famille, l’orange amère c’est avant tout ma grand-mère et sa Tunisie natale. Cette recette-là c’est celle de la grand-mère de Frédéric Soffiotti ! La sua Donnina! Et c’est un travail de bijoutier. « On fait quelques trous dans l’orange avec une aiguille à tricoter (pas un couteau, ça oxyde) et on fait tremper les fruits dans de l’eau que l’on va changer pendant trois jours. Une partie de l’amertume va partir. Et puis, et c’est là le plus long, on va prendre chaque orange en main, la couper en deux, en extraire les pépins de la pointe du couteau, puis détailler en fines tranches chaque moitié du fruit. On blanchit le tout et on couvre de sucre, pour la nuit, c’est ainsi que la pectine naturelle du fruit s’exprime, puis on fait cuire. C’est un travail long et répétitif, de trancher tous les fruits au couteau, mais le résultat, la texture en bouche, le goût, le confit de la peau… »