8,90 €
+CONFITURE D’ORANGE AMÈRE
Cette recette-là c'est celle de la grand-mère de Frédéric Soffiotti ! La sua Donnina! Et c'est un travail de bijoutier. "On fait quelques trous dans l’orange avec une aiguille à tricoter (pas un couteau, ça oxyde) et on fait tremper les fruits dans de l’eau que l’on va changer pendant trois jours. Une partie de l’amertume va partir. Et puis, et c’est là le plus long, on va prendre chaque orange en main, la couper en deux, en extraire les pépins de la pointe du couteau, puis détailler en fines tranches chaque moitié du fruit. On blanchit le tout et on couvre de sucre, pour la nuit, c’est ainsi que la pectine naturelle du fruit s’exprime, puis on fait cuire. C’est un travail long et répétitif, de trancher tous les fruits au couteau, mais le résultat, la texture en bouche, le goût, le confit de la peau..."
17,00 €
+EAU DE FLEUR D’ORANGER
J’aime l’eau de fleur d’oranger. Ma grand-mère m’en a toujours raconté les effluves. Cette odeur des champs en fleurs de sa Tunisie natale. Je fermais les yeux et je la sentais moi aussi. J’y étais. Je voyais défiler ces arbres à perte de vue sous le soleil. J’absorbais tous ses souvenirs et je développais ainsi mon sentiment d’appartenance. J’étais tunisienne. Sur la route vers Florence en passant par la Ligurie, nous nous arrêtons chez Pietro. Il distille ici, à Vallebona, entre mer et montagne, la fleur de bigaradier, comme l’a toujours fait sa famille depuis sept générations. Artisanalement de la taille des arbres à la cueillette, du tri des fleurs à la distillation Il faut un kilo de fleurs pour produire un litre d’eau de fleur d’oranger. Cet hydrolat ‘Presidio Slow Food’ se vend en petite bouteille de 100 ml. Et il suffit de quelques gouttes dans le Cake aux amandes, dans le flan libanais ou dans les navettes, pour faire ressurgir les champs de ma Tunisie imaginaire. Voici donc la recette du mouhalabieh (flan libanais), à préparer en un rien de temps. Pour 4 : Dissoudre 80g de sucre semoule dans 50 cl de lait tiède. Verser le tout en filet sur 40g de maïzena en fouettant. Puis porter à ébullition à feu doux. Lorsque le mélange bouillonne et a épaissi, incorporer hors du feu une cuillère à soupe d’eau de fleur d’oranger. Verser dans des verres et réserver au frais durant 2h minimum. À servir avec les premières fraises et quelques pistaches concassées.
15,50 €
+POIVRONS EN FILETS 800g
Les poivrons rouges et jaunes grillés entiers puis taillés en filets et conservés au naturel. C’est encore une réussite de Casa Marrazzo, les maraîchers de Campanie qui transforment leur récolte en conserves. Ces poivrons sont croquants et charnus, doux et délicieux. Et servis comme ça juste avec des anchois c’est une des entrées que je préfère de la cuisine provençale classique.
9,80 €
+PÂTE D’OLIVES TAGGIASCHE
C'est notre pâte d'olives à nous, celle des puristes, d'une texture idéale, aux olives taggiasche de Ligurie, qui s'étale ou se fond dans une sauce.
8,50 €
+HOUMOUS MAGIQUE
Du pois chiche et de la tahin... Beaucoup de tahin ! Et pas n'importe laquelle, celle d'Al Arz bien sûr.
Comment ça se mange ?
DANS LE BEURRE : beurre + sumac = un beurre fouetté meilleur que tout avec le pain de campagne. SUR UNE FONDUE D’OIGNONS DOUX, à préparer en tarte ou simplement gratinés avec un peu de parmesan. SUR DES ŒUFS AU PLAT, pour leur donner une légère touche acidulée. COMME SABRINA GHAYOUR : sur la tomate en salade ou bruschetta, sur l’agneau rôti, ou encore dans du poulet au beurre, sumac, miel, citron et cébette. COMME MINOU SABAHI, dans un cookie au chocolat noir.