12,00 €
+JUS DE YUZU 100%
Le voilà ! L’agrume japonais aux notes acides de pamplemousse et de mandarine verte, à la douceur de mandarine mikan. Les fruits de ce jus sont cultivés au cœur de la Province de Wakayama (au Sud d’Osaka et de Nara), réputée pour ses agrumes. Pour fournir un jus de yuzu véritable, la ferme Ito a développé une méthode de pressage originale. Ni peaux externes, ni peaux internes ne se mêlent au jus. L’agrume est coupé en deux-demi sphères. Et pressé délicatement entre deux bols pour récolter la pulpe et uniquement la pulpe. Puis le jus est immédiatement mis au frais pour préserver sa fraîcheur et ses qualités nutritionnelles. C’est une méthode artisanale qui permet d’obtenir 30% de jus, à la différence des méthodes industrielles de pressage qui elles poussent à 45% et dont le résultat est un jus épais. Ici le jus est clair et pulpeux. Si rafraîchissant. Sans colorant, ni additif, ni conservateur.
22,00 €
+BALSAMELA
Un vrai balsamique obtenu à partir de jus cuit de pommes bio de Reggio Emilia. Auquel Andréa Bezzecchi ajoute du vinaigre de pomme. Aigre-doux. Avec une acidité très délicate. C’est une incroyable découverte. Le meilleur assaisonnement de la salade verte mêlé à une bonne huile d’olive. Et sur les salades amères d’hiver, il joue l’équilibre.
17,00 €
+EAU DE FLEUR D’ORANGER
J’aime l’eau de fleur d’oranger. Ma grand-mère m’en a toujours raconté les effluves. Cette odeur des champs en fleurs de sa Tunisie natale. Je fermais les yeux et je la sentais moi aussi. J’y étais. Je voyais défiler ces arbres à perte de vue sous le soleil. J’absorbais tous ses souvenirs et je développais ainsi mon sentiment d’appartenance. J’étais tunisienne. Sur la route vers Florence en passant par la Ligurie, nous nous arrêtons chez Pietro. Il distille ici, à Vallebona, entre mer et montagne, la fleur de bigaradier, comme l’a toujours fait sa famille depuis sept générations. Artisanalement de la taille des arbres à la cueillette, du tri des fleurs à la distillation Il faut un kilo de fleurs pour produire un litre d’eau de fleur d’oranger. Cet hydrolat ‘Presidio Slow Food’ se vend en petite bouteille de 100 ml. Et il suffit de quelques gouttes dans le Cake aux amandes, dans le flan libanais ou dans les navettes, pour faire ressurgir les champs de ma Tunisie imaginaire. Voici donc la recette du mouhalabieh (flan libanais), à préparer en un rien de temps. Pour 4 : Dissoudre 80g de sucre semoule dans 50 cl de lait tiède. Verser le tout en filet sur 40g de maïzena en fouettant. Puis porter à ébullition à feu doux. Lorsque le mélange bouillonne et a épaissi, incorporer hors du feu une cuillère à soupe d’eau de fleur d’oranger. Verser dans des verres et réserver au frais durant 2h minimum. À servir avec les premières fraises et quelques pistaches concassées.
9,00 €
+CONFETTURA EXTRA de FIGUES et AMANDES
Je ne peux pas me passer de ce pot de confiture de Florence. Chiaverini fabrique depuis 1928. J’en ai rapporté un dans mes valises la première fois il y a 30 ans. Pour le pot évidemment. Ce packaging est imbattable. Mais Anna ne m’aurait jamais laissée l’acheter si ce n’était pas bon. Que dis-je c’est certainement l’un des fleurons de la production toscane ! Figues et Amandes ! Qu’est-ce que l’on veut de plus dans la vie ?
Dès 3,50 €
+GUANCIALE AL PEPE
De la joue de cochon frottée au sel et aux aromates puis séchée. Un gras de grande qualité veiné de chair. Au goût plus intense que le lard ou la pancetta. Il est l'ingrédient indispensable de la pasta alla gricia, al'amatriciana ou alla carbonara... Qui le mange sur les œufs au petit déjeuner fait un peu ce qu’il veut ! Tommaso Mellilli lui, prépare les haricots verts alla carbonara "Je verse en filet l’huile chaude de la guanciale – on fait griller juste avant la guanciale taillée en lardons dans la poêle –, l’oeuf est saisi comme un sabayon. On ajoute le pecorino romano râpé. On fouette toujours. Et si l’on rajoute des blancs en neige, la sauce devient plus aérienne et c’est une carbonara chiboust. C’est comme on veut. Verser la sauce sur les haricots verts. Le guanciale croustillant. Et une râpée de pecorino". (Extrait du livre "À l'idéal") - Tommaso est le chef extraordinaire de la Trattoria della Gloria à Milan. Et l'auteur de Spaghetti Wars et de L'Ecume des pâtes. À lire absolument.
Comment ça se mange ?
AVEC DU PAIN GRILLÉ : avec de la fleur de sel et de l’origan des montagnes grecques, c’est tout le Péloponnèse. C’est rien et c’est tout ! SUR UNE SALADE DE FENOUIL ET ORANGE, avec des olives taggiasche. SUR LA SALADE DE CAROTTES CUITES à la marocaine, assaisonnée avec cumin, ail, persil, paprika et coriandre fraîche. LE PAN CON TOMATE: le pain grillé des deux côtés, frotté à l’ail, la tomate mûre, sel, poivre et l’huile d’olive comme en Catalogne. SUR UNE MOUSSE AU CHOCOLAT NOIR !