CREMA DI NOCCIOLA – noir
Gianduja version noir aux noisettes du Piémont IGP récoltées dans l'Azienda. Ne contient pas de lactose.
Bocal de 250g
60€ / kg
15,00 €
Avec ça ?

CREMA AL PISTACCHIO
25% de pistaches, c'est pour ça qu'on l'aime tant ! Juste ce qu'il faut d'intensité pour finir le pot sans y penser. La Maison Scyavuru est un collectif de trois fermes productrices de fruits et fruits secs. Trois fermes qui mettent en commun leurs récoltes pour les transformer ensemble en confitures et pâtes à tartiner. Leur crème de pistaches est un bonheur. Parce que c'est un juste équilibre. Très pistache mais sacrément bien dosée. Elle ne sature pas le palais et donne envie d'y revenir très souvent. Trop peut-être ! À servir au fond de petits bols avec des framboises fraîches et des chouquettes. Ou simplement tartinée sur de la brioche fraîche. Aussi, on pourrait en faire un trifle. Une base de savoiardi imbibés de vermouth, des fraises, une couche de crème de pistaches, une couche de chantilly au mascarpone.

LA MARINA
Et puisque j’étais à Piacenza, je rencontrais Marcello. Un jeune fou qui a commencé par faire du chocolat ‘bean to bar’ dans son garage, en inventant des machines pour optimiser les procédés de fabrication. Avec son ami Alberto, ils ont eu l’idée de conserver les noisettes de Piacenza en saumure puis de les torréfier pour les mélanger au chocolat. Magique. Résultat : la Marina n’a rien à voir avec une pâte à tartiner et pourtant elle en tient le beau rôle. C’est exactement celle que l’on pourrait étaler sur du bon pain rôti en rajoutant un filet d’huile d’olive comme en Catalogne. Elle est plus liquide. Plus intense aussi. On peut en napper des bombolonni (beignets italiens). Et oui, on peut s’en faire une petite cuillère avec le café, ça ne fait jamais de mal !

CONFITURE D’ORANGE AMÈRE
Cette recette-là c'est celle de la grand-mère de Frédéric Soffiotti ! La sua Donnina! Et c'est un travail de bijoutier. "On fait quelques trous dans l’orange avec une aiguille à tricoter (pas un couteau, ça oxyde) et on fait tremper les fruits dans de l’eau que l’on va changer pendant trois jours. Une partie de l’amertume va partir. Et puis, et c’est là le plus long, on va prendre chaque orange en main, la couper en deux, en extraire les pépins de la pointe du couteau, puis détailler en fines tranches chaque moitié du fruit. On blanchit le tout et on couvre de sucre, pour la nuit, c’est ainsi que la pectine naturelle du fruit s’exprime, puis on fait cuire. C’est un travail long et répétitif, de trancher tous les fruits au couteau, mais le résultat, la texture en bouche, le goût, le confit de la peau..."

AMARETTI ALLE MANDORLE
Voici les macarons italiens. Rien que des amandes et pas un gramme de farine ! Ceux-ci viennent d’une petite maison ligure qui les fabrique depuis 1955. À Sasselo précisément. Ils sont moelleux. On les sert à l’Idéal avec l’affogato. Ce fameux café espresso dans lequel on noie une boule de glace vanille et que l’on recouvre […]