20,00 €
+TOMATES JAUNES NAPOLI
Ces tomates jaunes, cultivées au pied du Vésuve, font l'objet de soins attentifs, des semis jusqu'à la mise en bocal manuelle. Les tomates sont transformées dans les heures qui suivent la récolte, afin de préserver au mieux leur goût, leur couleur, leur qualités nutritionnelles. Les Marazzo sont des agriculteurs de Campanie, qui de génération en génération ont commencé à transformer les récoltes en conserve quand elles étaient trop importantes. Et de fil en aiguille, ils en ont fait leur spécialité. La tomate donc mais aussi l'aubergine, l'artichaut, les friarielli, la courgette et le poivron... tous cultivés au coeur de l'Agro Sarnese Nocerino, la vallée qui s'étend du Vésuve au Golfe de Naples, entre la mer et les montagnes Lattari. Vive la tradition de la conserve du Sud ! Les Marazzo en sont clairement des ambassadeurs dans le respect de l'environnement (énergie propre, recyclage des eaux et des emballages, utilisation de moyens électriques pour l'approvisionnement en matières premières locales).
6,90 €
+CALAMARATA bio
Évidemment, avec des calamars taillés en anneaux + ail et persil + vin blanc + sauce tomate + piment + huile d’olive + sel = calamarata alla napoletana comme Anna Bini
19,60 €
+POUTARGUE DE MULET
Poche d’œufs de poissons ôtée délicatement de ses entrailles, nettoyée, salée puis séchée au vent, à l’air libre. On trouve le plus souvent de la poutargue de thon ou de mulet. Dans ma famille, on ne mange que la poutargue de mulet et qui plus est, celle de Martigues. On l’a toujours attendue comme le messi et avec ça les histoires de mon père. Son enfance, sa Méditerranée à Carro, au cabanon avec son père et la Tunisie de mon grand-père par la même occasion. Celle-là même que me raconte mon amie Laurence depuis Carthage. Boutargue + Boukha (l’alcool de figue). L’accord parfait à l’apéritif. La poutargue de la Maison Matthieu n’est pas celle de Martigues (la pêche est si courte !) mais qu’est-ce qu’elle est bonne ! D’une belle texture pâte d’abricot. Racée et pas trop salée. Sur la ricotta de brebis fouettée. Sur les œufs mimosa. Dans la pasta fredda. Cette recette qui me rend dingue. Des spaghetti cuits puis refroidis mélangés à l’huile d’olive, le citron, la chapelure, les fanes de fenouil taillés finement et tant de poutargue râpée, un peu de chapelure rôtie pour finir le grand jeu !
6,00 €
+GROSSES CÂPRES AU SEL
Nos câpres viennent de Salina dans les Îles Éoliennes. Les plus grosses ont cette mâche incomparable.
6,90 €
+LINGUINE bio
Linguine + haricots verts cuits à l’anglaise + pignons + citron + basilic frais + parmesan + pecorino + ail + sel + huile d’olive = Linguine al pesto genovese, comme Anna Bini
Comment ça se mange ?
EN PERSILLADE: hachées menu, avec beaucoup de persil plat, un oignon rouge, des flocons de sel, le tout lié à l’huile d’olive : pour relever un sandwich, un œuf, une salade, un bol de riz, tout ! DANS LES SCONES SALÉS DE KEDA : frotter 100 g de beurre dans un mélange de 200 g de farine, 200 g de farine de petit épeautre, 1 sachet de levure chimique, une pincée de sel. Quand on obtient comme des miettes, ajouter 20 cl de lait ou de lait fermenté, 150 g de comté râpé et 80 g de tomates séchées hachées grossièrement et du persil haché. Former une pâte, laisser reposer 1h au froid. Étaler en rectangle, plier en trois, donner un quart de tour, étaler, recommencer. Puis étaler sur 2,5 cm de hauteur, couper des ronds à l’emporte pièce et poser sur une plaque. Cuire 20 minutes à 180°. DANS LES PÂTES : tomates cerise rôties + tomates fraîches + tomates séchées + basilic + parmesan ou encore hachées finement dans une simple sauce tomate, pour approfondir le goût.