19,00 €
+POUTARGUE DE MULET
Poche d’œufs de poissons ôtée délicatement de ses entrailles, nettoyée, salée puis séchée au vent, à l’air libre. On trouve le plus souvent de la poutargue de thon ou de mulet. Dans ma famille, on ne mange que la poutargue de mulet et qui plus est, celle de Martigues. On l’a toujours attendue comme le messi et avec ça les histoires de mon père. Son enfance, sa Méditerranée à Carro, au cabanon avec son père et la Tunisie de mon grand-père par la même occasion. Celle-là même que me raconte mon amie Laurence depuis Carthage. Boutargue + Boukha (l’alcool de figue). L’accord parfait à l’apéritif. La poutargue de la Maison Matthieu n’est pas celle de Martigues (la pêche est si courte !) mais qu’est-ce qu’elle est bonne ! D’une belle texture pâte d’abricot. Racée et pas trop salée. Sur la ricotta de brebis fouettée. Sur les œufs mimosa. Dans la pasta fredda. Cette recette qui me rend dingue. Des spaghetti cuits puis refroidis mélangés à l’huile d’olive, le citron, la chapelure, les fanes de fenouil taillés finement et tant de poutargue râpée, un peu de chapelure rôtie pour finir le grand jeu !
8,00 €
+NAVETTES DES ACCOULES
LE biscuit de Marseille, à la fleur d'oranger, avec sa jolie forme de barque, en direct du four des Accoules.
6,00 €
+CREME D’ANCHOIS
Des anchois au sel, de l'huile et du vinaigre. Voici ce qu'il y a dans cette crème. De l'anchois mixé à détendre à l'huile d'olive pour en faire une bonne anchoïade à laquelle on peut ajouter une pointe d'ail.
Comment ça se mange ?
DANS LA CACIO E PEPE : spaghetti + pecorino romano râpé + gros sel + poivre noir du moulin = La pasta romana sans doute la plus difficile à maîtriser. DANS LA GRICIA : mezze maniche + guanciale + pecorino romano + gros sel + poivre du moulin + menthe fraîche = la pasta romana. DANS L’AMATRICIANA : bucatini + guanciale + tomates San Marzano pelées + pecornio romano râpé + huile d’olive + piment + sel