32,00 €
+MONTENERO
Comme un Pandoro au chocolat et aux effluves de citron de Sicile. On ouvre la petite pochette de sucre glace fournie avec, on la verse dans le sac de Pandoro. On referme le sac et on secoue. Une Brioche dans une Boule à neige. Poétique !
8,50 €
+CANISTRELLI CACAO FLEUR DE SEL
Des biscuits au goût de reviens-y, à la fois croustillants et sablés, fabriqués pour nous par Vanessa Gravini. Elle les a dans la peau c’est pas possible!
12,50 €
+PRALIN
De l'amande et de la noisette, du chocolat. Le goût du torréfié croustillant, caramélisé, praliné. On commence par l'étaler sur la brioche. On finit par le manger à la petite cuillère, la nuit, en planque. On trouve parfois les meilleurs produits par le plus grand des hasards. Le pralin de Séverine est arrivé sans crier gare à l'Idéal. Un pot pour goûter glissé parmi d'autres produits commandés et boum on est restés pantois. Du pralin dans de la pâte à tartiner en somme. Une folie. Avec une vraie texture. C'est avec ce pralin que l'on prépare le Super Bacio. Un Bacio di Dama gros comme un bichoco !
16,80 €
+THÉ À LA FLEUR D’ORANGER
Un jour, j'ai vu Pierre Lebrun dans les yeux, dans son magasin tout beau du 11e arrondissement à Paris. Il passait du très bon hip hop, je m'en régalais, et il me racontait sa rencontre avec le thé, ses découvertes et tous ces savoir-faire infinis. Je lui ai demandé de nous écrire trois belles recettes de thé. Une aux agrumes. Une à la fleur d'oranger. Une aux épices, plus hivernale. Un autre jour je lui ai demandé une tisane qui donne envie de sauter du lit. La Curcuma Gingembre était née. Merci Pierre ! Voici donc ici un Oolong légèrement torréfié aux saveurs chaleureuses, eau de fleur d’oranger italienne et morceaux de citrons noirs iraniens. Addictive.
8,90 €
+CONFITURE D’ORANGE AMÈRE
Cette recette-là c'est celle de la grand-mère de Frédéric Soffiotti ! La sua Donnina! Et c'est un travail de bijoutier. "On fait quelques trous dans l’orange avec une aiguille à tricoter (pas un couteau, ça oxyde) et on fait tremper les fruits dans de l’eau que l’on va changer pendant trois jours. Une partie de l’amertume va partir. Et puis, et c’est là le plus long, on va prendre chaque orange en main, la couper en deux, en extraire les pépins de la pointe du couteau, puis détailler en fines tranches chaque moitié du fruit. On blanchit le tout et on couvre de sucre, pour la nuit, c’est ainsi que la pectine naturelle du fruit s’exprime, puis on fait cuire. C’est un travail long et répétitif, de trancher tous les fruits au couteau, mais le résultat, la texture en bouche, le goût, le confit de la peau..."