4,80 €
+PASSATA “LA DOLCE”
Un coulis de tomates cerises d'une grande douceur. On la verse toute nue sur des pâtes fraîches, farcies ou pas, avec un peu d'huile d'olive et de fleur de sel.
6,90 €
+SPAGHETTI bio
Spaghetti + guanciale + jaune d’oeuf + vin blanc + huile d’olive = Spaghetti alla carbonara à la façon d'Anna Bini
20,00 €
+TOMATES JAUNES NAPOLI
Ces tomates jaunes, cultivées au pied du Vésuve, font l'objet de soins attentifs, des semis jusqu'à la mise en bocal manuelle. Les tomates sont transformées dans les heures qui suivent la récolte, afin de préserver au mieux leur goût, leur couleur, leur qualités nutritionnelles. Les Marazzo sont des agriculteurs de Campanie, qui de génération en génération ont commencé à transformer les récoltes en conserve quand elles étaient trop importantes. Et de fil en aiguille, ils en ont fait leur spécialité. La tomate donc mais aussi l'aubergine, l'artichaut, les friarielli, la courgette et le poivron... tous cultivés au coeur de l'Agro Sarnese Nocerino, la vallée qui s'étend du Vésuve au Golfe de Naples, entre la mer et les montagnes Lattari. Vive la tradition de la conserve du Sud ! Les Marazzo en sont clairement des ambassadeurs dans le respect de l'environnement (énergie propre, recyclage des eaux et des emballages, utilisation de moyens électriques pour l'approvisionnement en matières premières locales).
14,70 €
+POINTE DE PECORINO ROMANO DOP
Cette pâte pressée cuite de lait entier de brebis est le fromage de la Carbonara et de la Cacio e Pepe !
19,60 €
+POUTARGUE DE MULET
Poche d’œufs de poissons ôtée délicatement de ses entrailles, nettoyée, salée puis séchée au vent, à l’air libre. On trouve le plus souvent de la poutargue de thon ou de mulet. Dans ma famille, on ne mange que la poutargue de mulet et qui plus est, celle de Martigues. On l’a toujours attendue comme le messi et avec ça les histoires de mon père. Son enfance, sa Méditerranée à Carro, au cabanon avec son père et la Tunisie de mon grand-père par la même occasion. Celle-là même que me raconte mon amie Laurence depuis Carthage. Boutargue + Boukha (l’alcool de figue). L’accord parfait à l’apéritif. La poutargue de la Maison Matthieu n’est pas celle de Martigues (la pêche est si courte !) mais qu’est-ce qu’elle est bonne ! D’une belle texture pâte d’abricot. Racée et pas trop salée. Sur la ricotta de brebis fouettée. Sur les œufs mimosa. Dans la pasta fredda. Cette recette qui me rend dingue. Des spaghetti cuits puis refroidis mélangés à l’huile d’olive, le citron, la chapelure, les fanes de fenouil taillés finement et tant de poutargue râpée, un peu de chapelure rôtie pour finir le grand jeu !
Comment ça se mange ?
DANS LA SAUCE GRIBICHE : jaunes d’œufs durs écrasés + huile + moutarde + vinaigre + sel + poivre + blancs d’œufs durs taillés en morceaux + herbes fraîches + câpres hachées grossièrement = condiment de la tête de veau. EN FRITURE : pommes de terre frites + grosses câpres frites + mayonnaise au citron = un lendemain de fête. EN VINAIGRETTE : salade feuilles de chêne + oignons rouges ciselés + huile d’olive + grosses câpres + jus de citron = une très bonne salade verte. DANS UN BEURRE BLANC, échalotes + vinaigre de vin blanc + vin blanc + beurre, avec petites pommes de terre et lieu noir vapeur.