FLEUR DE SEL AUX SAVEURS DE HARISSA À LA ROSE
La Reine de la Harissa à la rose, c'est Sophie. Sa recette est imparable. Très équilibrée.
Boîte de 50 g
320€ / kg
16,00 €
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Avec ça ?

HARISSA DE SYRACUSE
La harissa de l’Idéal est une addiction. Cette pâte de piments n’est pas trop piquante et d’une belle fraîcheur puisque l’on ajoute de la menthe fraîche dans la recette. Elle s’utilise brute ou délayée dans l’huile d’olive ou le bouillon.

FREGULA SARDA
C’est un type de pasta typiquement sarde. De petites pâtes rondes et irrégulières. On roule de la semoule de blé dur et de l’eau du bout des doigts, comme on fabriquerait une grosse graine de couscous. Ensuite elle est séchée puis grillée au four. C’est là sa particularité et son goût incomparable. Elle garde une fermeté sous la dent, même préparée dans un liquide. Une pasta que l’on cuit le plus souvent comme un risotto ! Cuisson : 8 à 10 minutes. Celle-ci est Bio. La recette de Rachel Roddy est ma préférée. Aux tellines !

CUCUNCI AU SEL
Les fruits du câprier, appelés aussi câprons ou câpres à queue, apparaissent sur l’arbuste quand les fleurs tombent. Ils contiennent des graines et sont ici conservés au sel marin. Il suffit de les dessaler en les rinçant à l’eau claire pour ensuite les déguster. Ils arrivent de Salina dans les Îles Eoliennes. On les aime parce qu'ils croquent ! SUR UNE BELLE TRANCHE DE PAIN RÔTIE : cucunci coupés en deux + tomates datterini fraîches + filets d’anchois + origan séché + huile d’olive. AVEC DES CHARCUTERIES : cucunci + saucisson toscan au fenouil + rillettes de porc au piment d’Espelette + spalla cotta légèrement fumée. EN CONDIMENT : cucunci + brandade de morue + huile d’olive + poivre du moulin.

GROSSES CÂPRES AU SEL
Nos câpres viennent de Salina dans les Îles Éoliennes. Les plus grosses ont cette mâche incomparable.

ZAATAR
Un beau jour de printemps 2023, je rencontrais Magali. Elle me racontait ce que Manger ses souvenirs veut dire. Accrochant ces quelques mots à une photo de famille. Accrochant ces quelques mots à une photo de famille. Magali porte dans son cœur le goût du sumac et du zaatar sauvage. Cueillis en famille dans les montagnes du Nord du Liban. Ce jour-là, je goûtais son zaatar avec les doigts. La sensation d’une herbe sauvage. Très sauvage. D’un beau mélange, avec le sésame blond et du sel. Si intense que l’on ne voudrait le manger avec rien d’autre que de l’huile d’olive et du pain.