8,50 €
+PIGNONS DE PISE
On cherche toujours de bons pignons. Ceux-ci sont à utiliser avec parcimonie, c'est de l'Or ! Agneau + menthe fraîche + pignons grillés + échalote + ail + œuf + pain trempé dans le lait = L’Orient à tremper dans le yaourt.
10,50 €
+OLIVES TAGGIASCHE
De toutes petites olives de table et à huile cultivées en Ligurie et sur la Côte d’Azur. De vrais bonbons.
17,00 €
+EAU DE FLEUR D’ORANGER
J’aime l’eau de fleur d’oranger. Ma grand-mère m’en a toujours raconté les effluves. Cette odeur des champs en fleurs de sa Tunisie natale. Je fermais les yeux et je la sentais moi aussi. J’y étais. Je voyais défiler ces arbres à perte de vue sous le soleil. J’absorbais tous ses souvenirs et je développais ainsi mon sentiment d’appartenance. J’étais tunisienne. Sur la route vers Florence en passant par la Ligurie, nous nous arrêtons chez Pietro. Il distille ici, à Vallebona, entre mer et montagne, la fleur de bigaradier, comme l’a toujours fait sa famille depuis sept générations. Artisanalement de la taille des arbres à la cueillette, du tri des fleurs à la distillation Il faut un kilo de fleurs pour produire un litre d’eau de fleur d’oranger. Cet hydrolat ‘Presidio Slow Food’ se vend en petite bouteille de 100 ml. Et il suffit de quelques gouttes dans le Cake aux amandes, dans le flan libanais ou dans les navettes, pour faire ressurgir les champs de ma Tunisie imaginaire. Voici donc la recette du mouhalabieh (flan libanais), à préparer en un rien de temps. Pour 4 : Dissoudre 80g de sucre semoule dans 50 cl de lait tiède. Verser le tout en filet sur 40g de maïzena en fouettant. Puis porter à ébullition à feu doux. Lorsque le mélange bouillonne et a épaissi, incorporer hors du feu une cuillère à soupe d’eau de fleur d’oranger. Verser dans des verres et réserver au frais durant 2h minimum. À servir avec les premières fraises et quelques pistaches concassées.
7,50 €
+ZAATAR
Un beau jour de printemps 2023, je rencontrais Magali. Elle me racontait ce que Manger ses souvenirs veut dire. Accrochant ces quelques mots à une photo de famille. Accrochant ces quelques mots à une photo de famille. Magali porte dans son cœur le goût du sumac et du zaatar sauvage. Cueillis en famille dans les montagnes du Nord du Liban. Ce jour-là, je goûtais son zaatar avec les doigts. La sensation d’une herbe sauvage. Très sauvage. D’un beau mélange, avec le sésame blond et du sel. Si intense que l’on ne voudrait le manger avec rien d’autre que de l’huile d’olive et du pain.
14,00 €
+COLATURA DI ALICI
Élixir extraordinaire, légèrement ambré, issu de la fermentation des anchois selon un savoir-faire ancestral*. La première fois que j’ai goûté à ça, c’était à Madrid bizarrement. Chez un chef madrilène qui s’adonnait profondément à la cuisine japonaise. (Une histoire de fou, un garagiste qui avait le Japon pour passion et qui a fini par ouvrir […]
Comment ça se mange ?
EN SALADE : citrons au sel en brunoise + pois chiches + poulpe + persil frais + cumin + huile d’olive + sel = une salade des vacances
DANS LE POULET DU DIMANCHE : citrons au sel en tranches + volaille
DANS LA PASTA : citrons au sel en brunoise + câpres + persil frais + anchois + chapelure rôtie + spaghetti = une pasta très méditerranéenne
EN SANDWICH : tranches de citron confit en brunoise + harissa + œufs durs + thon à l’huile + câpres de Salina dessalées + persil frais + pain à la semoule = le sandwich Noailles Power de l’Idéal presque comme à Tunis