FRAIS

Dès 6,75  +

BLEU BETHIA

Un autre bleu, celui-ci au lait cru de brebis, fabriqué dans le Pays Basque. Délicat et légèrement crémeux. Affiné 6 à 8 semaines. Il est d’une grande douceur.
Dès 6,00  +

BLEU MARSEILLAIS

Un bleu au lait cru de vache – des vaches varoises – fabriqué rue Sainte à Marseille, à la Laiterie Marseillaise. Ce fromage est très réussi. Un vrai goût de lait de vache et une texture légèrement crayeuse. Avec une salade rougette par exemple, des noix de Pécan, une vinaigrette au Balsamela (le balsamique de pomme de L’Acetaia San Giacomo).
Dès 7,20  +

BRANDADE DU GRAND ST ANTOINE

Dès 8,85  +

CACIOTTONA AL PEPE

Dès 8,85  +

CACIOTTONA AU THYM

Dès 9,45  +

FINOCCHIONA

15,70  +

IMPEPATO DI CACIO

7,50  +

MOZZARELLA DI BUFALA CAMPANA

Dès 8,85  +

PANCETTA PICCANTE

J’ai pensé à cette Pancetta quand j’ai vu arriver les asperges vertes de Mallemort. Nous sommes ici chez les Orlandi, éleveurs de cochons Grigio del Casentino – une race autochtone qu’ils sauvegardent depuis 10 ans. Mais les Orlandi n’élèvent pas seulement les cochons. Ils en transforment et affinent aussi la viande. La Pancetta piccante vaut le détour. La première fois que je l’ai grillée je crois que c’était pour remplacer le Bacon classique dans le fameux sandwich BLT en pleine saison de la tomate. La seconde fois pour déguster une ventrée de brocoletti blanchis puis sautés. Essayez aussi avec les seiches poêlées.
Dès 3,30  +

PANCETTA TESA

Autrement dit Pancetta Plate. Cette semaine j’en ai choisi une belle, au poivre. De la famille Savigni en Toscane. Parce que ma mère préparait une salade de foies de volaille à l’Idéal. Et que dans la recette il nous fallait de bons petits lardons. Aussi pour son risotto aux petits pois. La Pancetta est essentielle en cuisine. Et surtout à la cuisine de ma mère.
Dès 6,60  +

PECORINO AL PEPERONCINO

6,00  +

PESTO DI PRA

Pour la recette génoise typique, il vous faut de l’huile d’olive, du basilic Génois DOP, du Grana Padano, du Parmigiano Reggiano, du Pecorino Romano DOP, des pignons de pin italiens, de l’ail italien et du sel. Seuls ingrédients autorisés à la bonne fabrication du Pesto di Prà. Ici tout frais et en bocal. D’un vert électrique. La Maison connaît son sujet puisqu’elle produit son basilic et le transforme. Ce qu’il faut absolument savoir : il est formellement interdit de chauffer le pesto. C’est une sauce froide. Donc pour faire la pasta al pesto, on jette la pasta dans le pesto, dans un plat. Et on invoque la cremosità en ajoutant une louche d’eau de cuisson.
6,00  +

SALSA DI NOCI

La sauce de prédilection des ligures, si ce n’est le pesto ? ce sera pour sûr la sauce aux noix. La sauce des pansoti et des testaroli qui va bien aussi sur une salade de poulet dans l’idée d’une Salade Cesar. Le truc de la sauce aux noix, c’est qu’il y a de l’huile d’olive, du pain, de la crème et du beurre en plus des noix et du Grana Padano, d’une pointe d’ail et d’une pointe de noix de muscade. Certains votent pour les trenette (pâtes longues de Ligurie un poil plus larges que les linguine), moi j’aime cette sauce avec les casarecce et des noix de Pécan concassées en plus.
Dès 12,60  +

VENTRICINA DEL VASTESE

5,60  +

YAOURT FLOUVE

La flouve je l’ai découverte avec joie chez Tapisserie - la Pâtisserie de Septime – dans leur chou à la crème et je m’en souviens encore. Ce graminé apporte un petit goût de fève tonka, un petit goût vanillé mystérieux. Audrey de la Laiterie Marseillaise utilise une flouve du Jura pour son yaourt crémeux. Une merveille. J’ai mangé le pot sans m’en rendre compte. Le prochain je le servirai avec les premières fraises fraîches.