6,40 €
+BUSIATA bio
Des pâtes entortillées, comme une version plus rustique des fusilli, qui attrapent bien des sauces un peu épaisses comme le pesto rosso d'Anna Bini ou la peperonata de Rachel Roddy.
55,00 €
+TOMATES LONGUES séchées au soleil
Un bon goût de tomates mûres, à utiliser presque comme un condiment !
6,80 €
+SEMI DI ORZO
Ces petites pâtes en forme de langues d’oiseau, de grains de riz ou de grains d’orge sont un enchantement pour un risotto de pasta express et réconfortant. Ces pâtes-là me font l’effet des Coquillettes Jambon ! Avec des petits pois et une très belle huile d’olive. Cuites à l’envers comme un risotto, on le mouille au bouillon de légumes. Jusqu’à cuisson parfaite. On jette les petits pois crus ou à peine cuits, comme vous les aimez. Une volée de parmesan et un bon poivre Kampot, de la menthe fraîche ciselée si vous aimez. Pour rappel, la pasta Cavalieri est une pasta artisanale régionale issue du blé dur sélectionné dans les Pouilles et en Basilicata, bénéficiant des avancées technologiques les plus poussées pour pétrir, étirer et sécher la pâte à basse température.
20,00 €
+TOMATES JAUNES NAPOLI
Ces tomates jaunes, cultivées au pied du Vésuve, font l'objet de soins attentifs, des semis jusqu'à la mise en bocal manuelle. Les tomates sont transformées dans les heures qui suivent la récolte, afin de préserver au mieux leur goût, leur couleur, leur qualités nutritionnelles. Les Marazzo sont des agriculteurs de Campanie, qui de génération en génération ont commencé à transformer les récoltes en conserve quand elles étaient trop importantes. Et de fil en aiguille, ils en ont fait leur spécialité. La tomate donc mais aussi l'aubergine, l'artichaut, les friarielli, la courgette et le poivron... tous cultivés au coeur de l'Agro Sarnese Nocerino, la vallée qui s'étend du Vésuve au Golfe de Naples, entre la mer et les montagnes Lattari. Vive la tradition de la conserve du Sud ! Les Marazzo en sont clairement des ambassadeurs dans le respect de l'environnement (énergie propre, recyclage des eaux et des emballages, utilisation de moyens électriques pour l'approvisionnement en matières premières locales).
19,60 €
+POUTARGUE DE MULET
Poche d’œufs de poissons ôtée délicatement de ses entrailles, nettoyée, salée puis séchée au vent, à l’air libre. On trouve le plus souvent de la poutargue de thon ou de mulet. Dans ma famille, on ne mange que la poutargue de mulet et qui plus est, celle de Martigues. On l’a toujours attendue comme le messi et avec ça les histoires de mon père. Son enfance, sa Méditerranée à Carro, au cabanon avec son père et la Tunisie de mon grand-père par la même occasion. Celle-là même que me raconte mon amie Laurence depuis Carthage. Boutargue + Boukha (l’alcool de figue). L’accord parfait à l’apéritif. La poutargue de la Maison Matthieu n’est pas celle de Martigues (la pêche est si courte !) mais qu’est-ce qu’elle est bonne ! D’une belle texture pâte d’abricot. Racée et pas trop salée. Sur la ricotta de brebis fouettée. Sur les œufs mimosa. Dans la pasta fredda. Cette recette qui me rend dingue. Des spaghetti cuits puis refroidis mélangés à l’huile d’olive, le citron, la chapelure, les fanes de fenouil taillés finement et tant de poutargue râpée, un peu de chapelure rôtie pour finir le grand jeu !
Comment ça se mange ?
EN SALADE : artichauts crus + huile d’olive + poivre + parmigiano reggiano en copeaux = à l’heure des plus beaux artichauts
DANS LA PASTA AL BURRO : beurre + parmigiano reggiano + poivre = la pasta préférée de mes enfants
SUR LE PLATEAU DE FROMAGES : parmigiano reggiano + vinaigre balsamique + crème de poires = un poème