CREMA DI NOCCIOLA
Du Gianduja à l'état pur. Préparé avec les noisettes du Piémont IGP issues des noisetiers de l'Azienda.
Bocal de 250g
60 € / kg
15,00 €
Avec ça ?

PAVESINI
Pour préparer un tiramisu, il n'y a pas trente-six biscuits à la cuillère, il y a seulement les Pavesini. L'un des ingrédients indispensables à sa réussite. Antonio était fier de nous enseigner sa technique, on vous la transmet ici. 250g de mascarpone + 100g de crème liquide + 50g de sucre + 3 œufs + 24 biscuits Pavesini + 50cl de bon café + 30g de cacao amer
Séparer les blancs des jaunes. Ajouter le sucre aux jaunes. Puis le mascarpone au fouet. Fouetter la crème à part et la rajouter au mélange. Monter les blancs en neige et les incorporer délicatement à la spatule. Puis mouiller les Pavesini (très rapidement!) dans le café. En tapisser le fond du plat. Recouvrir d’une couche de crème. Alterner. Finir par la crème. Et saupoudrer de cacao. Filmer le plat et le réserver au frais quelques heures avant de le servir.

GRANOLA
Super torréfié. Avec du gruau de cacao, des flocons d'avoine, des amandes de Sicile et des raisins de Corinthe dedans. Production maison. Addiction totale. Et vous vous le mangez comment votre granola ? Yaourt et fruits frais ? Ou presque comme un Bircher muesli avec de la pomme râpée et du lait d'avoine ? Ma chère Keda Black elle, l'utilise comme un ingrédient, un petit supplément d'âme : sur des pommes au four rôties au beurre, sur une glace au fromage blanc, avec des fruits pochés.

AMARETTI ALLE MANDORLE
Voici les macarons italiens. Rien que des amandes et pas un gramme de farine ! Ceux-ci viennent d’une petite maison ligure qui les fabrique depuis 1955. À Sasselo précisément. Ils sont moelleux. On les sert à l’Idéal avec l’affogato. Ce fameux café espresso dans lequel on noie une boule de glace vanille et que l’on recouvre […]

CONFITURE D’ORANGE AMÈRE
Cette recette-là c'est celle de la grand-mère de Frédéric Soffiotti ! La sua Donnina! Et c'est un travail de bijoutier. "On fait quelques trous dans l’orange avec une aiguille à tricoter (pas un couteau, ça oxyde) et on fait tremper les fruits dans de l’eau que l’on va changer pendant trois jours. Une partie de l’amertume va partir. Et puis, et c’est là le plus long, on va prendre chaque orange en main, la couper en deux, en extraire les pépins de la pointe du couteau, puis détailler en fines tranches chaque moitié du fruit. On blanchit le tout et on couvre de sucre, pour la nuit, c’est ainsi que la pectine naturelle du fruit s’exprime, puis on fait cuire. C’est un travail long et répétitif, de trancher tous les fruits au couteau, mais le résultat, la texture en bouche, le goût, le confit de la peau..."