9,00 €
+CONFETTURA EXTRA DI MORE ROVE
Je ne peux pas me passer de ce pot de confiture de Florence. Chiaverini fabrique depuis 1928. J’en ai rapporté un dans mes valises la première fois il y a 30 ans. Pour le pot évidemment. Ce packaging est imbattable. Mais Anna ne m’aurait jamais laissée l’acheter si ce n’était pas bon. Que dis-je c’est certainement l’un des fleurons de la production toscane ! Ici à l’abricot. On a aussi Pêches, Abricots, Figues et Amandes, Fraises. Vous pouvez tomber dedans les yeux fermés.
Dès 3,60 €
+IL LARDO DEI BACCI
Il faut goûter cela une fois dans sa vie ! Et sentir ici tout le savoir-faire, le temps, les gestes de cette famille de bouchers-charcutiers passionnés, planqués À Montignoso, au pied des Appenins toscans, connus de toute la région et bien au-delà. J’aime encore plus ce lard-là que le Lardo di Colonnata. Il est plus délicat. Plus subtile encore. Sur du pain grillé tout chaud. La tranche posée délicatement dessus. Je le sers ainsi à l’Epicerie comme je le mange en Toscane.
7,50 €
+FIOR DI RICOTTA
Petite ricotta fraîche au lait de brebis. Une beauté de produit. Tout ce que l'on cherche de la ricotta. De la douceur et une belle texture. Produite en Maremma. Toscana. À cuisiner évidemment. Mais quand arrive le printemps je la mange toute nue avec une bonne huile d'olive et les friarielli sautés à l'ail et au piment ou bien avec de la roquette sauvage et des olives taggiasche. Comme à la Merenda, à Nice.
6,00 €
+CANNELLINI TOSCANS
Les tout petits haricots toscans sont un drapeau de plus à la cuisine toscane. Indispensables. Ceux-ci viennent de Lucca. Presque tout nus, sans peau et donc plus digestes. Ils sont fondants et délicats. Avec une bonne huile d’olive, du sel, du poivre, quelques feuilles de sauge et une gousse d’ail, on tient un grand plat. D’abord on fait tremper les haricots la veille. Le lendemain, on les égoutte et on les met dans une casserole en terre (ce serait extra) sinon en fonte, on ajoute l’ail et les feuilles de sauge fraîche, deux cuillères à soupe d’huile d’olive et quelques grains de poivre noir. On couvre d’eau froide à fleur et on cuit à feu doux. Si on doit ajouter de l’eau pour terminer la cuisson il faudra l’ajouter bouillante. On sale en fin de cuisson et on laisse encore sur le feu doux 5 minutes. Normalement le rapport eau de cuisson et cannellini est parfait. On atteint la crémosité du tout. Et alors on les déguste avec un filet d’huile d’olive du terroir, de la fleur de sel, un tour de moulin à poivre. Souvent, on s’en régale sur des crostini chauds. Ça coule, les haricots tombent dans l’assiette. Ma questo è il bello del piatto ! On les sert aussi souvent avec du thon à l’huile et des oignons rouges ciselés.
Comment ça se mange ?
AVEC LA PASTA : caponata + penne rigate + plein de menthe fraîche + pignons = une pasta d’été qui peut même se manger froide. SUR UNE BELLE TRANCHE DE PAIN RÔTIE : caponata + mozzarella di Bufala coupée en tranches = une bruschetta de la flemme. EN ACCOMPAGNEMENT : caponata + lapin confit à l’huile = un repas sous la tonnelle. COMME LA RATATOUILLE : caponata + œuf mollet = ce sera parfait dimanche soir ! EN SANDWICH : caponata + pecorino en tranches fines + une demi baguette = en regardant la mer. SOUS DES FOIES DE VOLAILLE PANÉS, avec des oignons frais tranchés et une volée de persil plat.