14,50 €
+NOUGAT BLANC 200G
J’ai découvert Angèle Confiserie sur un Salon du bio à Vincennes. Je déteste les salons. Mais ce jour-là un vieux monsieur sur son stand forçait ma curiosité. Je n’aimais ni le nougat, ni les calissons, toujours trop sucrés. Et il ne vendait que ça. Je m’approchais quand même et je goûtais. Enfin la trouvaille. Ni de Montélimar. Ni d’Aix en Provence. Ce Monsieur qui tenait sur un fil fabriquait depuis toujours des confiseries d’orfèvre dans le Var. Depuis il a vendu à Guillaume et Stéphanie qui font perdurer les recettes et la qualité extraordinaire des ingrédients. Le Nougat blanc tendre 100% bio est riche en amandes et en miel. Comme il se doit.
16,00 €
+INFUSION CURCUMA GINGEMBRE
Pierre Lebrun avait goûté une recette dans un coffee shop à Brooklyn. Puissante, chaleureuse, il faisait froid, il avait adoré. Il l'a recréée dans son atelier parisien - Le Parti du Thé - en sourçant chacun des ingrédients, jusqu’à obtenir l’équilibre parfait selon lui !
8,00 €
+CONFITURE DE CITRON
La confiture de citron des Soffiotti, c'est une délectation.
6,00 €
+PAVESINI
Pour préparer un tiramisu, il n'y a pas trente-six biscuits à la cuillère, il y a seulement les Pavesini. L'un des ingrédients indispensables à sa réussite. Antonio était fier de nous enseigner sa technique, on vous la transmet ici. 250g de mascarpone + 100g de crème liquide + 50g de sucre + 3 œufs + 24 biscuits Pavesini + 50cl de bon café + 30g de cacao amer
Séparer les blancs des jaunes. Ajouter le sucre aux jaunes. Puis le mascarpone au fouet. Fouetter la crème à part et la rajouter au mélange. Monter les blancs en neige et les incorporer délicatement à la spatule. Puis mouiller les Pavesini (très rapidement!) dans le café. En tapisser le fond du plat. Recouvrir d’une couche de crème. Alterner. Finir par la crème. Et saupoudrer de cacao. Filmer le plat et le réserver au frais quelques heures avant de le servir.
8,90 €
+CONFITURE D’ORANGE AMÈRE
Cette recette-là c'est celle de la grand-mère de Frédéric Soffiotti ! La sua Donnina! Et c'est un travail de bijoutier. "On fait quelques trous dans l’orange avec une aiguille à tricoter (pas un couteau, ça oxyde) et on fait tremper les fruits dans de l’eau que l’on va changer pendant trois jours. Une partie de l’amertume va partir. Et puis, et c’est là le plus long, on va prendre chaque orange en main, la couper en deux, en extraire les pépins de la pointe du couteau, puis détailler en fines tranches chaque moitié du fruit. On blanchit le tout et on couvre de sucre, pour la nuit, c’est ainsi que la pectine naturelle du fruit s’exprime, puis on fait cuire. C’est un travail long et répétitif, de trancher tous les fruits au couteau, mais le résultat, la texture en bouche, le goût, le confit de la peau..."
Comment ça se mange ?
AVEC LE CAFÉ en fin de repas évidemment. AVEC UNE POIRE POCHÉE.