Dès 3,50 €
+GUANCIALE AL PEPE
De la joue de cochon frottée au sel et aux aromates puis séchée. Un gras de grande qualité veiné de chair. Au goût plus intense que le lard ou la pancetta. Il est l'ingrédient indispensable de la pasta alla gricia, al'amatriciana ou alla carbonara... Qui le mange sur les œufs au petit déjeuner fait un peu ce qu’il veut ! Tommaso Mellilli lui, prépare les haricots verts alla carbonara "Je verse en filet l’huile chaude de la guanciale – on fait griller juste avant la guanciale taillée en lardons dans la poêle –, l’oeuf est saisi comme un sabayon. On ajoute le pecorino romano râpé. On fouette toujours. Et si l’on rajoute des blancs en neige, la sauce devient plus aérienne et c’est une carbonara chiboust. C’est comme on veut. Verser la sauce sur les haricots verts. Le guanciale croustillant. Et une râpée de pecorino". (Extrait du livre "À l'idéal") - Tommaso est le chef extraordinaire de la Trattoria della Gloria à Milan. Et l'auteur de Spaghetti Wars et de L'Ecume des pâtes. À lire absolument.
9,90 €
+CAPONATA
Un petit goût aigre-doux de mes vacances à Filicudi. Notre ami Giacomo a encore frappé avec sa Caponata de maître. Il la prépare et la met en bocaux à Syracuse et nous l’envoie par palettes ! Ne confondons pas la caponata et la ratatouille. La caponata c’est encore une dédicace à l’aubergine par les Siciliens (après la parmiginana), entichée de céleri, de tomate, d’oignon, d’olives, de câpres et d’un peu d’ail. Chaque légume revenu à part puis tous ensemble cuits en cocotte et arrosés de vinaigre. C’est le vinaigre qui signe l’aigre-doux. Le goût de mes vacances à Filicudi. Rajoutez des pignons, du basilic et des amandes torréfiées vous êtes à Palerme. On en mangerait à toute heure. Dans le sandwich. Avec la pasta, idéalement des penne, plein de menthe fraîche et des pignons. Sur une belle tranche de pain rôtie avec de la mozzarella tranchée. Servie avec le lapin confit à l'huile d'olive. Servie avec les foies de volaille panés, des oignons frais tranchés et une volée de persil frais. Dans la poêle avec des œufs cassés et du bon pain. Froide avec des anchois et des œufs durs. Partout. Tout le temps. Tout l’été !
12,00 €
+JUS DE YUZU 100%
Le voilà ! L’agrume japonais aux notes acides de pamplemousse et de mandarine verte, à la douceur de mandarine mikan. Les fruits de ce jus sont cultivés au cœur de la Province de Wakayama (au Sud d’Osaka et de Nara), réputée pour ses agrumes. Pour fournir un jus de yuzu véritable, la ferme Ito a développé une méthode de pressage originale. Ni peaux externes, ni peaux internes ne se mêlent au jus. L’agrume est coupé en deux-demi sphères. Et pressé délicatement entre deux bols pour récolter la pulpe et uniquement la pulpe. Puis le jus est immédiatement mis au frais pour préserver sa fraîcheur et ses qualités nutritionnelles. C’est une méthode artisanale qui permet d’obtenir 30% de jus, à la différence des méthodes industrielles de pressage qui elles poussent à 45% et dont le résultat est un jus épais. Ici le jus est clair et pulpeux. Si rafraîchissant. Sans colorant, ni additif, ni conservateur.
Comment ça se mange ?
On l’utilise EN FIN DE CUISSON DU PORC par exemple, pour contrebalancer le gras. Un petit coup de peps ! SUR LES FRITES aussi comme en Angleterre sur les chips. DANS UNE CAPONATA de légumes de printemps et DANS UNE VINAIGRETTE bien sûr pour assaisonner des salades amères avec une belle huile d’olive.