9,00 €
+CONFETTURA EXTRA de FIGUES et AMANDES
Je ne peux pas me passer de ce pot de confiture de Florence. Chiaverini fabrique depuis 1928. J’en ai rapporté un dans mes valises la première fois il y a 30 ans. Pour le pot évidemment. Ce packaging est imbattable. Mais Anna ne m’aurait jamais laissée l’acheter si ce n’était pas bon. Que dis-je c’est certainement l’un des fleurons de la production toscane ! Figues et Amandes ! Qu’est-ce que l’on veut de plus dans la vie ?
12,00 €
+JUS DE YUZU 100%
Le voilà ! L’agrume japonais aux notes acides de pamplemousse et de mandarine verte, à la douceur de mandarine mikan. Les fruits de ce jus sont cultivés au cœur de la Province de Wakayama (au Sud d’Osaka et de Nara), réputée pour ses agrumes. Pour fournir un jus de yuzu véritable, la ferme Ito a développé une méthode de pressage originale. Ni peaux externes, ni peaux internes ne se mêlent au jus. L’agrume est coupé en deux-demi sphères. Et pressé délicatement entre deux bols pour récolter la pulpe et uniquement la pulpe. Puis le jus est immédiatement mis au frais pour préserver sa fraîcheur et ses qualités nutritionnelles. C’est une méthode artisanale qui permet d’obtenir 30% de jus, à la différence des méthodes industrielles de pressage qui elles poussent à 45% et dont le résultat est un jus épais. Ici le jus est clair et pulpeux. Si rafraîchissant. Sans colorant, ni additif, ni conservateur.
23,50 €
+POUTARGUE DE MULET
Poche d’œufs de poissons ôtée délicatement de ses entrailles, nettoyée, salée puis séchée au vent, à l’air libre. On trouve le plus souvent de la poutargue de thon ou de mulet. Dans ma famille, on ne mange que la poutargue de mulet et qui plus est, celle de Martigues. On l’a toujours attendue comme le messi et avec ça les histoires de mon père. Son enfance, sa Méditerranée à Carro, au cabanon avec son père et la Tunisie de mon grand-père par la même occasion. Celle-là même que me raconte mon amie Laurence depuis Carthage. Boutargue + Boukha (l’alcool de figue). L’accord parfait à l’apéritif. La poutargue de la Maison Matthieu n’est pas celle de Martigues (la pêche est si courte !) mais qu’est-ce qu’elle est bonne ! D’une belle texture pâte d’abricot. Racée et pas trop salée. Sur la ricotta de brebis fouettée. Sur les œufs mimosa. Dans la pasta fredda. Cette recette qui me rend dingue. Des spaghetti cuits puis refroidis mélangés à l’huile d’olive, le citron, la chapelure, les fanes de fenouil taillés finement et tant de poutargue râpée, un peu de chapelure rôtie pour finir le grand jeu !
6,00 €
+PAVESINI
Pour préparer un tiramisu, il n'y a pas trente-six biscuits à la cuillère, il y a seulement les Pavesini. L'un des ingrédients indispensables à sa réussite. Antonio était fier de nous enseigner sa technique, on vous la transmet ici. 250g de mascarpone + 100g de crème liquide + 50g de sucre + 3 œufs + 24 biscuits Pavesini + 50cl de bon café + 30g de cacao amer
Séparer les blancs des jaunes. Ajouter le sucre aux jaunes. Puis le mascarpone au fouet. Fouetter la crème à part et la rajouter au mélange. Monter les blancs en neige et les incorporer délicatement à la spatule. Puis mouiller les Pavesini (très rapidement!) dans le café. En tapisser le fond du plat. Recouvrir d’une couche de crème. Alterner. Finir par la crème. Et saupoudrer de cacao. Filmer le plat et le réserver au frais quelques heures avant de le servir.
45,00 €
+OLIVES TAGGIASCHE
De toutes petites olives de table et à huile cultivées en Ligurie et sur la Côte d’Azur. De vrais bonbons.
Comment ça se mange ?
On l’utilise EN FIN DE CUISSON DU PORC par exemple, pour contrebalancer le gras. Un petit coup de peps ! SUR LES FRITES aussi comme en Angleterre sur les chips. DANS UNE CAPONATA de légumes de printemps et DANS UNE VINAIGRETTE bien sûr pour assaisonner des salades amères avec une belle huile d’olive.