6,90 €
+RIGATONI bio
Pour faire comme Anna Bini les Rigatoni al sugo di salsiccia avec sauce tomate + saucisse fraîche + graines de fenouil
10,50 €
+OLIVES TAGGIASCHE
De toutes petites olives de table et à huile cultivées en Ligurie et sur la Côte d’Azur. De vrais bonbons.
Dès 3,50 €
+GUANCIALE AL PEPE
De la joue de cochon frottée au sel et aux aromates puis séchée. Un gras de grande qualité veiné de chair. Au goût plus intense que le lard ou la pancetta. Il est l'ingrédient indispensable de la pasta alla gricia, al'amatriciana ou alla carbonara... Qui le mange sur les œufs au petit déjeuner fait un peu ce qu’il veut ! Tommaso Mellilli lui, prépare les haricots verts alla carbonara "Je verse en filet l’huile chaude de la guanciale – on fait griller juste avant la guanciale taillée en lardons dans la poêle –, l’oeuf est saisi comme un sabayon. On ajoute le pecorino romano râpé. On fouette toujours. Et si l’on rajoute des blancs en neige, la sauce devient plus aérienne et c’est une carbonara chiboust. C’est comme on veut. Verser la sauce sur les haricots verts. Le guanciale croustillant. Et une râpée de pecorino". (Extrait du livre "À l'idéal") - Tommaso est le chef extraordinaire de la Trattoria della Gloria à Milan. Et l'auteur de Spaghetti Wars et de L'Ecume des pâtes. À lire absolument.
6,90 €
+FREGULA SARDA
C’est un type de pasta typiquement sarde. De petites pâtes rondes et irrégulières. On roule de la semoule de blé dur et de l’eau du bout des doigts, comme on fabriquerait une grosse graine de couscous. Ensuite elle est séchée puis grillée au four. C’est là sa particularité et son goût incomparable. Elle garde une fermeté sous la dent, même préparée dans un liquide. Une pasta que l’on cuit le plus souvent comme un risotto ! Cuisson : 8 à 10 minutes. Celle-ci est Bio. La recette de Rachel Roddy est ma préférée. Aux tellines !
7,20 €
+SAN MARZANO PELÉES
On a toujours besoin d'une bonne San Marzano chez soi ! Issue des sols chauds du Vésuve, elle est la meilleure tomate à conserver entière et pelée. Transformées dans les heures qui suivent la récolte, afin de préserver au mieux leur goût, leur couleur, leur qualités nutritionnelles, les tomates restent ainsi charnues et savoureuses. On les utilise en cuisson évidemment mais je dois dire que celles des Marazzo je les mange comme ça, sorties de la boîte, écrasées sur un morceau de pain de campagne grillé avec de l'huile d'olive et de la fleur de sel. Parfois je rajoute un anchois ! Les Marazzo sont des agriculteurs de Campanie, qui de génération en génération ont commencé à transformer les récoltes en conserve quand elles étaient trop importantes. Et de fil en aiguille, ils en ont fait leur spécialité. La tomate donc mais aussi l'aubergine, l'artichaut, les friarielli, la courgette et le poivron... tous cultivés au coeur de l'Agro Sarnese Nocerino, la vallée qui s'étend du Vésuve au Golfe de Naples, entre la mer et les montagnes Lattari. Evidemment j'ai tous leurs produits en magasin.
Comment ça se mange ?
SUR UNE BELLE TRANCHE DE PAIN RÔTIE : ricotta fraîche + olives taggiasche + fleur de sel + un tour de moulin à poivre = un déjeuner sur l’herbe. DANS LA SALADE : salade castelfranco + quartiers d’orange + huile d’olive + fleur de sel + poivre du moulin (+ anchois + chapelure de pain grossière) = un hiver en couleurs. DANS LA RECETTE DU LAPIN CONFIT : lapin + huile d’olive + gousses d’ail + thym frais + olives taggiasche = le lapin en cocotte de ma mère. SUR DES TARTELETTES À LA TOMATE ou aux oignons. SUR DES TOMATES RÔTIES.