20,00 €
+TOMATES JAUNES NAPOLI
Ces tomates jaunes, cultivées au pied du Vésuve, font l’objet de soins attentifs, des semis jusqu’à la mise en bocal manuelle. Les tomates sont transformées dans les heures qui suivent la récolte, afin de préserver au mieux leur goût, leur couleur, leur qualités nutritionnelles. Les Marazzo sont des agriculteurs de Campanie, qui de génération en […]
6,40 €
+PAPPARDELLE bio
Pappardelle + viande de sanglier + oignon, carotte, céleri, feuille de laurier et ail + baies de genièvre + sauce tomate + vin rouge + huile d’olive + sel = Pappardelle al ragù di cinghiale
14,70 €
+POINTE DE PECORINO ROMANO DOP
Cette pâte pressée cuite de lait entier de brebis est le fromage de la Carbonara et de la Cacio e Pepe !
6,00 €
+GROSSES CÂPRES AU SEL
Nos câpres viennent de Salina dans les Îles Éoliennes. Les plus grosses ont cette mâche incomparable.
55,00 €
+TOMATES CERISES CONFITES
Douces et fraîches, à croquer telles quelles presque comme des bonbons ou à glisser dans les sauces pour les pâtes comme une baguette magique.
DANS LA GRICIA : mezze maniche + guanciale + pecorino romano + gros sel + poivre du moulin + menthe fraîche = la pasta romana. DANS L’AMATRICIANA : bucatini + guanciale + tomates San Marzano pelées + pecornio romano râpé + huile d’olive + piment + sel. DANS LA CARBONARA à la façon d’Anna Bini : Spaghetti + guanciale + jaune d’oeuf + vin blanc + huile d’olive. DANS UN BOUILLON MAGIQUE: bouillon de champignons + bouillon de porc + petit épeautre + guanciale coupée comme des lardons et revenus + pesto d’épinards et amandes et pecorino. SUR DES HARICOTS VERTS, en cuisinant une sauce comme pour la carbonara : « Je verse en
filet l’huile chaude de la guanciale – on fait griller juste avant la guanciale taillée en lardons dans la poêle –, l’oeuf est saisi comme un sabayon. On ajoute le pecorino romano râpé. On fouette toujours. Et si l’on rajoute des blancs en neige, la sauce devient plus aérienne et c’est une carbonara chiboust. C’est comme on veut. Verser la sauce sur les haricots verts. Le guanciale croustillant. Et une râpée de pecorino ». (Extrait du livre « À l’idéal »)